27 septembre 2005

Les dangers de la rentrée...

...ou peut-être des vacances ?

Voilà donc un nouvel article de ma grande série à thème "les dangers de...", série d'investigation socio-psychologique inspirée de faits réels.

La rentrée engendre de nombreux désagréments à l'étudiant moyen, dont la reprise des cours, qui n'est pourtant que la partie visible de l'iceberg. Une somme de petits tracas viennent gâcher la vie paisible et harmonieuse de l'étudiant gracile et alerte, aimant gambader dans la nature généreuse s'épanouissant dans de ce trou de verdure où chante une rivière accrochant follement aux herbes des haillons d'argent, où le soleil de la montagne fière luit, ce petit val qui mousse de rayons. (alors, ça vous la coupe hein les synesthètes des mes deux). Parmis ces petits tracas, le réveil matinal. Plus moyen de dormir tranquille le matin ! On dort toujours, mais avec un sentiment de culpabilité. Un vrai drame des temps modernes.
De plus, du fait du manque d'entraînement babyfootbalistique durant les vacances, nombreuses sont les mains redevenues aussi faibles et aussi peu cornées que celles d'un nouveau né. Les ampoules et autres arrachements cutanés sont alors nombreux, et donc les arrêts pour cause d'inaptitude à l'utilisation de l'outil de travail.
Je me suis vite réacoutumé aux pates à l'eau par contre, c'est comme le vélo...

Pour conclure je dirais donc qu'ayant constaté que les chinois en master of science avec lesquels je partage un cours d'électronique numérique ne savent pas ce qu'est un Pentium, je peux affirmer avec certitude que la Chine est un pays sans avenir.

Si vous avez apprécié ce billet ne prenez pas la route.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Le gouvernement chinois maquille les processeurs dans un soucis de fierté nationale, l'énemi capitaliste américain n'est qu'un piètre concurent et la Chine est capable de produire elle même ses propres microprocesseurs quintal core gravés en 2 microns.