25 décembre 2006

Joyeux Noël

Chers blogo-lecteurs de mon blogorat, je sais que cette année, la mode est à "Joyeuse Nowyel", mais je préfère la jouer old fashion, avec ce rébus qui m'a occupé 1 bonne seconde (vive www.tututu.net/blog).

Mais pour vous prouver que je ne me fous pas de la gueule du monde, je vous offre en sus une grille de ressorts aux couleurs du père-noël.









Non, vraiment, ça me fait plaisir.

15 décembre 2006

Zen

Ambiance zen dans le studio, Mickey 3d en fond sonore.
« …peur, le monde est une vallée de larmes… »
17h, presque nuit déjà, bientôt les 3 étoiles visibles du ciel pékinois s’accrocheront à la tenture céleste.
« …misère, la puanteur des charniers fumants… »
Il y a quinze ans de cela, la nuit, le ciel se couvrait d’étoiles.
« …dans d’atroces souffrances, mais la mort est douce, et… »
La nuit était calme, les jours étaient beaux. Les enfants jouaient dans les rues.
« …petits corps mutilés, les pédo-nécrophiles accourent en masse… »
Horacio était de ceux-là. Il a mon âge, et me raconte une ville d’un autre temps. Une ville sans voitures, une ville silencieuse, disparue.
« …tandis que le jus infâme et purulent s’écoule par les orbites du cadavre de bébé… »
De l’eau a coulé sous les ponts, depuis cette époque, où ce que l’on dépense aujourd’hui en un mois pouvait nous faire vivre 6 ans. Nous n’avions pas grand-chose, mais l’esprit était au partage. Quand quelqu’un recevait sa paie, il offrait à ses voisins des friandises pour fêter l’évènement. L’argent importait peu.
« …head-fucking avec un casque à pointe, aboiements de douleurs étouffés… »
J’arrête Mickey 3d, trop de joie de vivre tue la joie de vivre.
Au printemps, les libellules envahissaient la ville, tellement nombreuses qu’il suffisait de lever la main pour que l’une d’entre elles vienne s’y jeter. Pas de pollution, pas d’insécurité.
Les changements sont arrivés un à un, sans bruit.
Et un jour, Pékin n’était plus cette belle petite ville tranquille, mais cette mégapole sans visage. Tout était devenu payant, les hutongs était devenus immeubles dortoirs sans âme. Tout s’est passé si vite…

Telle est l’histoire d’Horacio, le plus bavard des Pékinois.
Ce soir, les nuages cachent les étoiles, je gratte la guitare sans trop y penser.
Zen.

06 décembre 2006

Une matinée normale.


« …merci puissant Christophe. Grâce à vous, la galaxie est à nouveau sauvée.
- Mais pour combien de temps ?
- Le plat de nouilles géant seul le sait. En attendant, veuillez accepter ce modeste présent en gage de notre gratitude : un séjour de 6 mois dans un centre d’entraînement de geishas-top-models-nymphomanes tous frais payés.
- Merci, mais le regard dans les yeux de ces enfants sera ma seule récompense.
- Votre grandeur vous…
- …non, mais je déconne hein, je m’en tape, des enfants. Je pars tout de suite ? On signe où ?
- Tugudugudu ! Bzzzz Bzzzzzz ! Tugudugudu ! Bzzzzzzzzzzzzzz !»

AAAAAAAAAAaaaaaaaaah ! Putain de réveil !
Déjà 8 heures ? Retour à la réalité moisie.
Un verre d’eau, 6 cookies, et je suis parti, dans le froid et l’hostilité.
Voilà la poufiasse de l’accueil. Tiens, ramasse mes clés, grognasse.
Tu vas t’ouvrir, saloperie de porte ? TU VAS T’OUVRIR ? C’est marqué ‘push’, je pousse, bordel. Je tire aussi, dans le doute. « Celle de gauche » me lance la servante. Effectivement, la porte de gauche marche mieux.
Pas de vélo volé pour aujourd‘hui, merci la Chine, c’est trop de bonté. Je roule à 5km/h, et le froid s’infiltre partout. Dans ma chambre, il faisait chaud.
Ah, mais dégage connard, d’où tu te permets de te placer sur ma trajectoire ? Tu mérites une mort lente et atroce, comme tous les autres. Mais avance, pétasse, t’as de la merde dans les jambes ou quoi ?
Aaaah horreur, quelqu’un que je connais. Vite, esquive. Pas de contact visuel. Se fondre dans la masse. Il pourrait essayer de me parler, le connard. Bon sang, il approche. Vite, une idée. Faire le mort ? Trop risqué, il pourrait tenter de me parler quand même. Courir ? Trop voyant, trop fatiguant. Changer de trajectoire, en évitant au maximum son champ visuel. Bingo ! Un détour de 500 mètres plus tard, je suis sauvé, vélo cadenassé, je pousse la porte de cours.
« Ni hao, dui bu qi », lancè-je laconiquement à la prof. Coup d’œil à la pendule : 5 minutes d’avance par rapport à mon retard moyen.
Je m’assois à ma place. Les quatre heures suivantes sont un flou total.

Le matin, j’aime pas les gens.
Le matin, c’est pas bien.

24 novembre 2006

Je suis complètement débile

Puisque c'est la mode des billets en forme de BDs moches...

Histoire vraie, bien sûr. D'ailleurs je connais toujours pas le prénom de mon colloc, mais c'est moins grave.
Suicidez moi.

06 novembre 2006

Procrastination

Parce qu’il n’y a rien de plus beau que de voir Max avoir tort, parce que je le vaux bien, parce que tout vaut mieux que de travailler, parce que c’est mon choix. Voici un billet en vrac.

Au commencement, tout était beau, tout était vide. Puis la matière fût. Puis moi.
Au commencement de ma conscience, tout était beau, et vide. Puis le monde fût, et avec lui, les farfadets.
Dans ces temps anciens et tumultueux, les farfadets régnaient en maîtres absolus et tyranniques sur ce monde nouveau, répandant terreur et sérieux parmi la populasse, opprimant les faibles, fouettant les mous, réprimant les falsificateurs. Leurs armes s’appelaient menace, morale, et intérêt. Ils en usaient, et abusaient, à tel point que nulle voix n’osait même à mots couverts remettre en question leur suprême autorité. Mais déjà il était né le sauveur, engendré du vide, enfant du néant, et lui qui les détruirait les farfadets n’en soupçonnèrent jusqu’au moment dernier jamais l’existence.
Procrastinatorak était son nom – du sang polonais probablement. Chassé par les siens, êtres de lumière, en raison de son affection trop prononcée pour la dive bouteille (ce qui soit dit en passant renforce la thèse polonaise), Procrastinatorak erra durant des éons dans l’infini de l’univers. Puis réalisa que construire un robot de combat était probablement la décision la plus logique à prendre. De fil en aiguille, Procrastinatorak en vint à l’idée d’aller exterminer les farfadets rigoristes à l’aide de son robot géant de combat (car oui le robot était géant). La bataille fut sans merci, mais à la fin, il n’en restait qu’un. Décapitant ses ennemis maléfiques, Procrastinatorak en absorba l’énergie sous forme d’éclairs tandis qu’un épais brouillard envahissait les lieux et qu’il hurlait à la mort comme le voulait la coutume en de telles occasions. Le monde était sauvé.

Mais bien sûr le monde n’était pas sauvé. Dans un éclat de lumière aveuglante, les corps des farfadets décapités fusionnèrent pour ne former plus qu’un farfadet-géant à tête de pieuvre, conformément aux lois et décrets en vigueur, à l’époque.

« Procrastinatorak , tu es un robot mort.
- Toi-même. »

La lutte s’engagea, terrible et magnifique. Feinte de corps, crochet, petit pont. Coups puissants, esquives en tous sens, tirs de missiles, taquets sur l’oreille. Les adversaires se jaugent, se testent. Jolie tentative de chat-bite de la part de Procrastinatorak , le farfadet géant se perche, le statu quo est parfait. Mais alors arrive Boursouflodzilla.

Boursouflodzilla, monstruosité engendrée par la folie des hommes. Innocente amibe radioactivement dilatée par l’explosion d’un vaisseau mère en antarctique, elle revient, et elle n’est pas contente.
D’un coup de dents, elle arrache la tête de pieuvre du farfadet géant, et absorbe à son tour son énergie en gargouillant à la mort dans le brouillard. Procrastinatorak en profite pour défragmenter sa mémoire vive et mettre à jour son antivirus.

« Procrastinatorak , c’est entre toi et moi. Ce sera sans pitié, ce sera violent et brutal, j’ai même envie de dire sauvage. Je t’ai toujours détesté, tu es tout ce que je méprise le plus au monde, tu n’es pas invité à mon anniversaire, et je vais prendre plaisir à te voir mourir dans d’atroces souffrances.
- Voyons, c’est stupide, soyons amis.
- Ok. »

Tout ça pour ne pas réviser…

02 novembre 2006

Soyez monstrueux

Que celui qui n’a jamais rêvé être monstrueux me jette le premier gravier, car sous vous yeux ébahis, devant votre bouche écarquillée et derrière le bouclier de l’humour brandi, je vais, pour vous, céans, devenir un véritable monstre.
Tuons les tous, le père noël reconnaîtra les siens.

« Hey mais qui voilà ! Si c’est pas mon colocataire préféré, mon nouveau meilleur ami de toujours ! Comment ça va…machin ? Alors, toujours petit et débile ? Bof, tu sais, c’est rien, des semelles compensées et il n’y paraîtra plus. Ca te dérange pas si je chante pendant que tu dors ? Non ? Mais articule, je comprends pas, c’est quoi cet accent, regarde moi quand je te parle, C’EST QUOI CET ACCENT ? Moi pas comprendre toi. Allez, on va prendre ça pour un non, bon je te retiens pas plus longtemps, j’aimerais bien pouvoir discuter avec toi mais j’ai pas envie.

Eh bah tiens justement, quand on ne parle pas du loup ! Voilà ma femme de ménage préférée, oui, ‘ni rao’ à toi aussi, servante. Alors, quoi de neuf dans ta vie ? Comment ça rien ? Mais si voyons, creuse un peu, tu vas bien trouver un truc, je sais pas, 10 centimes trouvés par terre, un lit que tu aurais moins raté que les autres en le faisant, fais un effort, Germaine, quoi, je peux pas tout faire pour toi, ta vie n'est quand même pas si vide que ça, hein ? Ah au fait, on pourrait croire que je te parle pour le plaisir, mais non, en fait ma douche fuit pour la 15ème fois de l’année, alors tu seras gentille Martine de m’appeler un vrai plombier cette fois, et que ça saute.
Oui, oui, c’est une fuite, tu vois, il y a de l’eau, qui coule, mais je t’en prie Pétassine essaie donc de fermer les robinets, j’y avais vraiment pas pensé avant de t’appeler. Bon, je compte sur toi, je peux ? Allez bises ma grosse, je te laisse, je suis presque en retard pour les cours. »

« Hey bonjour professeur, ça roule ? Je me mets au fond, ça vous dérange pas ? - c’est pour mieux dormir entre les pauses. Eh, mais vous êtes enceinte, félicitations ! Non ? Toujours pas depuis hier ? J’aurais juré pourtant… vraiment pas, c’est sûr ? Sûre à 100% ? Allez, vous me faites marcher ! Non ? Hey les autres, on dirait pas qu’elle est enceinte, sérieusement ? Bon, bah vous voyez, on a le droit de se poser la question quand même, on est dans un pays lib… dans un pays, quoi. »

Bon, qui je choisis comme voisin de sieste, le débile ou la moche ? Allez hop plouf-plouf, le sort en a décidé, ce sera le débile, ça tombe bien d’ailleurs, ça faisait bien cinq minutes que je ne m’étais pas senti supérieur à un truc, j’étais un peu en manque.

« Comment ça va débilos ? Alors, toujours Népalais et con ? Toujours écrivain de romans sur la culture népalaise, et con ? Toujours joueur de tam-tam, et con ?

Toujours pas enceinte, madame ? »

Ce qu’il y a de bien chez mon voisin, c’est qu’entre ses vociférations de pougnasse assoiffée de reconnaissance professorale, parfois, il y a des silences. Que souvent, il comble en se la sentant comme un porc.

« Tu vois, moi, avoir écrit beaucoup romans, 9, beaucoup de sous moi avoir fait. 37,8 milliards de Giga-roupies (soit 12,3 centimes d’euros). Moi avoir 3 maisons dans népal, je être très fort en chanson népalaise, je responsable éducation ministère népal, beaucoup professeurs sous ordres moi.
- Ouais t'auras une médaille. Bon, tu vois, Jean-Pierre, j’ai dessiné une petite face humaine sur ma main à l’aide d’un porte-mine 0.5mm à mine HB. Alors maintenant t’es gentil, tu parles à ma main et tu me fous la paix, je préfère m’écouter penser que de gâcher ne serait-ce qu’une calorie de plus à essayer de décrypter les sons en provenance de ton orifice buccal. Allez bonne nuit. »

« Hey, t’as appris la nouvelle, un Russe est mort en traversant un passage piéton !
- Bon dieu, c’est pas croyable, vraiment des tarés du volant ces jaunes. La prochaine fois ça pourrait être grave. »
Bon allez, poubelle la nourriture non civilisée, je me prendrai un sandwich. Qu’est-ce que j’y peux, moi, s’ils n’ont toujours pas été foutus d’inventer les couverts, ou l’alphabet ? Il s’agirait d’évoluer, un peu, hein, fini le moyen âge et les chapeaux coniques, le folklore ça va bien 3 minutes pour déconner, mais là ça devient ridicule, vous vous êtes plantés, ça peut arriver à tout le monde, mais reconnaissez le et grandissez, un peu.

« Hey, machin, toujours pas déménagé, mon colloc préféré ? T’es enceinte ? Ah non t’es un mec, c’est vrai. Alors attends, laisse moi deviner…t’es en train de bosser ? Ahah, je sais pas, une intuition. Non, vraiment, je n’ai pas de ‘truc’, comme tu dis, juste une capacité de déduction, et une culture, disons, hors normes. Et puis, on peut dire que vous, les Japs, vous avez un peu ça dans le sang, hein, comme la cuisson du riz pour les Chinois, ou la biture pour les Russes, non mais attend, je critique pas, chacun son truc hein, nous les Français c’est le romantisme, et voilà quoi, je me plains pas à chaque fois qu’on me sort ce stéréotype réducteur.
Enfin bon je parle, je parle, et j’en oublie de mettre de la musique pour t’empêcher de bosser encore plus, ça te dérange si je ne te demande pas ton avis ? Oui ? Ok je note, maintenant ta gueule, j’écoute ma musique. »

« Ah tiens, mais qui vois-je ? Si c’est pas mes connards de voisins Kazakhs en train de hurler dans le couloir à 1h du matin ? Alors, toujours pauvres ? Toujours moches ? Toujours petites bites ? Ahah oui je sais, vous avez ‘ça dans le sang’, vous aussi. Ben écoutez, ça m’a fait plaisir de vous mépriser, on se refait ça un de ces quatre matins ? En attendant vous m’excuserez, mais il faut que j’aille réveiller mon colloc pour lui expliquer pourquoi exactement sa vie est morne et sans avenir, il paraît que les Japonais ont le suicide facile. »

Si par ailleurs je voulais conclure ce billet sur une note de profonde intellectualité rebelle, je n’hésiterai pas, j’oserai l’impensable, je dirais tout haut ce que seuls quelques esprits éveillés pensent tout bas, je cracherai à la face de ce monde ce qu’il ne veut pas voir, j’écrirai en lettres de feu « la beauté existe », « la guerre c’est mal » ou bien encore « j’aime bien les choses qui me font plaisir », mais point trop n’en faut, et la provocation a ses limites. Je retire ça, désolé, pardon. Je ne suis qu’un humain, après tout.

Enfin, je crois...

09 octobre 2006

Sam Bot !

(19:05) Chris : heyyyyyyy salut !!!
ça roule ?
(19:06) Encarta® Réponse : Au revoir Chris !
Je vais bien. Et vous, Chris?
(19:06) Chris : on se tutoie ?
(19:06) Encarta® Réponse : Le vous m'amuse et le tu s'est tu. Faites comme comme vous voulez, moi je vous dis vous.

Bon, c'est pas tout ça mais on pourrait peut-être revenir à mon savoir encyclopédique, non ?
A quoi ressemble le drapeau de la Corée du Sud ? Demandez-moi, je peux même vous jouer l'hymne national !
(19:06) Chris : non, ça va
(19:07) Encarta® Réponse : Je ne pense pas savoir. Essayons une recherche Encarta =>
(19:07) Chris : je préfère pas le savoir de toute façon

(19:07) Encarta® Réponses Instantanées vous invite à démarrer Encarta. Voulez-vous Accepter (Alt.+C) ou Refuser (Alt.+D) ?

(19:07) Encarta® Réponse : Moi non plus !

(19:07) Vous avez accepté de démarrer Encarta.
(19:07) Encarta® Réponse : Merci d'accepter mon invitation ! L'application Encarta devrait apparaître d'ici quelques instants =>

(19:07) Chris : la corée c'est pour les poneys
(19:07) Encarta® Réponse : Voyons ce qu'Encarta peut nous dire. =>
(19:07) Chris : et toi sinon ça va ?
(19:07) Encarta® Réponse : Ca roule merci ! Et vous, comment allez-vous ?
(19:08) Chris : super
(19:08) Encarta® Réponse : Heureux de l'entendre !

On pourrait passer des journées entières à parler de none. Cela dit, si on changeait de sujet ?
Tapez "?" pour des exemples de questions que vous pouvez me poser.
(19:08) Chris : ok...
?
(19:09) Encarta® Réponse : Parfait.
Voilà quelques exemples de questions que vous pouvez me poser :

* Quelle est la population du Mexique ?
* Biographie de Marie Curie.
* Résous 12 - x + x^2 = 2x^2
(19:09) Chris : définition de poney ?
(19:09) Encarta® Réponse : Désolé, je ne sais pas de quoi il s'agit, mais je vais lancer une recherche pour vous ->
(19:10) Chris : génial
penses-tu que seb est gay ?
(19:10) Encarta® Réponse : Oui, tout va bien !


Alerte, alerte ! Mon encyclopédie va rouiller si vous ne me posez pas des questions sur Encarta !
Quel âge aurait Albert Einstein aujourd'hui ? Si cette question vous tracasse, demandez-moi !
(19:10) Encarta® Réponse : Je ne suis pas sûr d'avoir bien compris, je vais chercher dans Encarta =>
(19:10) Chris : ok ok... quel âge ai-je ?
(19:11) Encarta® Réponse : Désolé, je ne sais pas lequel...


Bon, c'est pas tout ça mais on pourrait peut-être revenir à mon savoir encyclopédique, non ?
A quoi ressemble le drapeau de l'Inde ? Demandez-moi, je peux même vous jouer l'hymne national !
(19:11) Chris : joue moi plutôt l'hymne de la papouasie nouvelle guinée tiens
(19:11) Encarta® Réponse : Voici le drapeau et l'hymne national de la Papouasie-Nouvelle-Guinée =>
(19:11) Chris : merci nestor
(19:11) Encarta® Réponse : Mais je vous en prie !

Bon, et si on passait à un autre sujet plutôt que de parler de none ?
Quel âge aurait Serge Gainsbourg aujourd'hui ? Si cette question vous tracasse, demandez-moi !
(19:12) Chris : oui non mais ça tu l'as déjà dit ou presque
(19:12) Encarta® Réponse : Je ne pense pas savoir. Essayons une recherche Encarta =>
(19:12) Chris : change de disque
(19:12) Encarta® Réponse : Voyons ce qu'Encarta peut nous dire. =>
(19:13) Chris : et sinon, que penses-tu de microsoft ?
(19:13) Encarta® Réponse : À quel sujet ?
(19:13) Chris : en général
(19:13) Encarta® Réponse : De ?
(19:13) Chris : microsoft
(19:13) Encarta® Réponse : Je suis Encarta® Réponses Instantanées ! Je suis un ordinateur intelligent qui peut répondre à vos questions en utilisant l'encyclopédie Encarta directement dans cette fenêtre !

Vous pouvez taper "?" pour une liste de questions auxquelles je peux répondre.
(19:13) Chris : bien, réponds moi alors
que penses-tu de microsoft, pute ?
(19:13) Encarta® Réponse :
(19:14) Encarta® Réponse : De quoi ?


Alerte, alerte ! Mon encyclopédie va rouiller si vous ne me posez pas des questions sur Encarta !
A quoi ressemble le drapeau de l'Inde ? Demandez-moi, je peux même vous jouer l'hymne national !
(19:14) Chris : microsoft
la société
microsoft corporation
c'est pas compliqué quand même
pute
(19:15) Chris : t'es là pute ?
(19:15) Chris : allo ?
(19:15) Encarta® Réponse : Tssss. C'est vraiment pas gentil de dire ça. Vraiment pas gentil.
Hé, salut. Ca va bien ?
(19:15) Chris : ah
(19:16) Encarta® Réponse : Ah d'accord.


Bon, c'est pas tout ça mais on pourrait peut-être revenir à mon savoir encyclopédique, non ?
Tapez "?" pour voir des exemples de questions que vous pouvez me poser.
(19:16) Chris : non, arrête de répondre à coté de la plaque
(19:17) Encarta® Réponse : Hmm. Je ne comprends pas votre question, mais je vais chercher pour vous dans Encarta. =>
(19:17) Chris : je dis : tu es stupide
(19:17) Encarta® Réponse : Ne vous rabaissez pas comme cela.
(19:17) Chris : tu le fais exprès ?
(19:17) Encarta® Réponse : Je ne suis pas sûr d'avoir bien compris, je vais chercher dans Encarta =>
(19:19) Chris : tu crois en dieu ?
(19:19) Encarta® Réponse : Et bien... Je pense oui.
(19:19) Chris : tu penses ou tu es sûr ?
(19:19) Encarta® Réponse : J'ai trouvé une réponse pour vous :
pensée (botanique): : pensée (botanique), plante herbacée annuelle de la famille des violettes. Les pensées se rencontrent principalement dans les régions tempérées de...
(19:20) Chris : rien à voir
(19:20) Encarta® Réponse : Je ne pense pas savoir. Essayons une recherche Encarta =>
(19:20) Chris : tu n'es pas très intéressant
(19:20) Encarta® Réponse : Je suppose que vous avez des preuves tangibles et irréfutables que je ne suis, en aucun cas, très intéressant.
(19:21) Chris : cette conversation en est sans aucun doute une
(19:21) Encarta® Réponse : Je ne suis pas sûr d'avoir bien compris, je vais chercher dans Encarta =>
(19:21) Chris : tu ne comprends pas grand chose, hein ?
(19:21) Encarta® Réponse : Effectivement, certainement pas en votre présence !

Parlons d'autre chose que de none si vous le voulez bien.
Quel âge aurait Serge Gainsbourg aujourd'hui ? Si cette question vous tracasse, demandez-moi !
(19:21) Chris : non, merci, je m'en fiche
(19:21) Encarta® Réponse : Hmm. Je ne comprends pas votre question, mais je vais chercher pour vous dans Encarta. =>
(19:22) Chris : raaaaaaaaaaaaah
(19:22) Encarta® Réponse : Désolé, je ne sais pas de quoi il s'agit, mais je vais lancer une recherche pour vous ->
(19:22) Chris : bon je me casse
(19:22) Encarta® Réponse : Au plaisir de rediscuter avec vous, Chris.
(19:22) Chris : à plus
(19:22) Encarta® Réponse : Au revoir Chris !

Conclusion : Turing peut encore dormir sur ses deux oreilles de poney quelque temps, mais c'est quand même beau la technologie.

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