25 septembre 2006

Avis.

Des rumeurs infâmantes ayant commencé à circuler sur mon sujet, et ce sans quelque fondement que ce soit, j’ai tenu à rectifier d’un geste souple l’information pour que Vérité éclate enfin, et que, peut-être, un jour, Paix et Justice règnent enfin dans un monde de bonheur avec les petites fleurs les petits oiseaux tout ça. Je le dis donc publiquement, non, je n’ai pas mangé de chien. Jamais. C’était du chaton bouilli torturé façon grand-mère, sur son lit d’organes hachés de cheval.
Un bonheur immense m’emplit à l’idée que les choses soient maintenant claires entre nous. Merci d’agréer la distinction de mes sentiments les plus intenses à votre égard.



Sinon, que dire d’autre, vraiment je ne vois pas. Ah, si. J’ai acheté un vélo. Bon, un vélo, c’est un bien grand mot. J’ai acheté une saloperie roulant par miracle, un tas de ferraille conçu à la truelle par un singe aveugle et monté avec les pieds par un épileptique en crise. Pour le moment, il tient le coup, au rythme d’une réparation par semaine, mais il a déjà commencé à rouiller. La qualité chinoise n’est plus ce qu’elle… n’a jamais été. Mais bon, 13€ le vélo…
Je me sers de cette blague à deux roues pour aller en cours, en partant le plus tard possible de ma chambre, et grâce à elle, la plupart du temps, je ne suis presque pas en retard. Et je l’utilise pour les courses, aussi.

Il faut savoir que le supermarché chinois est très similaire à son homologue civilisé, en beaucoup moins cher bien sûr. Aller au supermarché, c’est d’abord pour moi une occasion en or pour mourir. La circulation est assez intense, pour les vélos comme les voitures, et assez…chaotique. On se faufile, on évite de justesse grâce à ses freins qui freinent presque, on place un appui sur une portière, et ça passe. Les feux de signalisation n’ont ici pas la même signification qu’ailleurs. Un feu rouge signifie : « si tu essaies de traverser, tu peux être sûr de te faire écraser », alors qu’un feu vert signifie plutôt « tu as peut-être une chance de survivre, avec un peu de chance de bons réflexes ».

Une fois arrivé, reste à trouver une place sur le parking à vélo géant comme on en trouve partout. Des ‘préposés’ tout sauf officiels demanderont certainement entre 2 et 3 mao pour leur travail de surveillance au moment de reprendre son vélo, mais à 2 ou 3 centimes d’euro le racket, ce n’est pas franchement la peine de se battre…

Ah oui, il est temps pour un petit briefing sur la monnaie locale.
La monnaie est le yuan, et la conversion en est facile : 1 yuan est égal à 10 centimes d’euros, il suffit de diviser par 10. Un repas à la cantine du campus coûte entre 6 et 9 yuans…
Un mao est égal à un dixième de yuan, et il existerait même le fen, égal à un dixième de mao, mais je n’en ai encore jamais vu. Enfin, les chinois utilisent quasi exclusivement des billets, les pièces sont vraiment rares (pas assez de métal ?).

Voilà Sophie, tu sais tout sur la monnaie chinoise.

C’est tout pour aujourd’hui, car, comme dirait Laurent, quand c’est trop long, c’est trop long.

Salutations, camarades.

17 septembre 2006

One again

Bien cette méthode ne me satisfait pas, et je passerai sous peu à autre chose, mais en attendant...



C'est la fête du policier avec balai king-size dans le cul.




Un monument à la gloire d'un truc, enfin, sûremment. Nous sommes près de tien'an men et de la cité interdite.



Ca c'est le parlement.


...hahahaha non je déconne. Vous y avez cru, hein ? C'est un monument à la gloire du peuple, ou de la révolution, ou de la révolution du peuple, ou du peule de la révolution, enfin vous voyez l'idée.



"La gloire du peuple et la révolution populaire de la liberté du courage, et du peuple."

Papier maché sur fil de fer, stuc et riz compacté. C'est beau.

13 septembre 2006

Quelques photos, avant que je comprenne comment tout exporter d'un coup avec Picasa... Posted by Picasa







30 août 2006

Réouverture du blog

Sonnez trompettes, couinez kazoos, la symétrie hermitienne revient, plus forte que jamais… Quoi de neuf, chez vous ? Non, je m’en fous en fait. Parlons plutôt de moi. Oh puis non, parlons de Flaubert, ‘Flaubie’ comme aimait à l’appeler son proctologue. La rêverie, dans l’écriture Flaubitique, se trouve intégrée dans un mouvement de va-et-vient, alternant avec un réalisme descriptif quasi Carlossesque (du nom de Carlos, parolier et interprète de génie). « Quel rapport avec le kazoo ? », me demanderez-vous alors. Aucun.

Et sinon, moi, ça va. Un peu en Chine, mais ça me passera, rien de grave. La Chine, justement, parlons du fait d’en parler. Promis, je ne vous saoulerai pas avec le pays jaune dans chaque billet. Un peu par-ci, un peu par là, mais pas plus que la juste mesure, point trop n’en faut, et tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse. Est-ce que Max nous embête en parlant de Grenoble dans chaque billet, hein ? Oui, d’accord, ce serait peut-être mieux, mais ce n’est pas la question. Mauvais exemple.

Ceci étant dit, les choses étant claires entre nous, nous allons pouvoir diminuer le niveau de récursivité, et, une fois n’est pas coutume, parler de la Chine.
Au commencement, était l’avion.

« Avion de métal, tu voles avec deux ailes,
Paradoxe orthographique, clapier pour classe économique,
Tu m’as mené vivant jusqu’à destination,
Fendant l’air comme un camion,
Le soleil caresse ma peau, mais ne me parle pas,
La fleur est dans le vase, mon cœur chante pour toi. »

…aurait écrit Max. Vous avez de la chance, je ne suis pas Max. Le reste de ce billet ne piquera donc pas les yeux.

Aéroport, l’endroit de tous les dangers. Je change rapidement mes 300 euros en une liasse de 500 grammes de billets. Je ne recompte pas, mais j’ai confiance. Quand il ne s’agit pas de vélo, le Chinois est honnête. Nous sommes trois Télécommiens à débarquer, en territoire hostile. Germain, Maxime, et moi. Les ‘balanceurs’ ont pris grand soin de nos valises, seules deux sur trois sont abîmées. Dans le hall, un mec nous accroche, et nous propose un taxi. Son anglais est approximatif, mais compréhensible. Grande victoire, nous arrivons à négocier, et, de 45€, le prix tombe à 30€. Evidemment, nous sommes entubés dans les grandes largeurs. Comme nous l’apprendrons plus tard, nous aurions déboursé environ 8€ pour un taxi honnête, 2€ pour l’autocar. Rectification : quand il ne s’agit ni de vélo ni d’entuber l’occidental, le chinois est honnête. Je n’ai toujours pas recompté mes sous.
Comme de bien entendu, le taxi est une camionnette moisie sans ceintures, sans plaque, sans compteur, garé au sous-sol. Le pigeon est dans la casserole, je répète, le pigeon est dans la casserole. Nous payons avant la course…

La circulation sur le périph est du genre ‘no rule’, ça double à droite, ça queue-de-poissonne, pas de priorités, le bonheur pour nous, dans notre boîte de conserve suicide. De vrais taxis doublent régulièrement sur la gauche, voitures modernes, avec ceintures, airbags, freins, vrai chauffeur. Et beaucoup moins chers, mais nous l’ignorons encore. Doux temps de l’innocence…

Par chance, nous arrivons à destination, sans encombres. Bienvenue à la Beijing Language and Culture University, BLCU pour les intimes. Trois pas à peine après l’entrée, un chinois aborde.
‘Good evenings gents, may I help you ?’.
Ce que je traduirai, pour les moins bilingues d’entre nous, par :
‘Bonjour très honorable étranger, comment ma misérable personne pourrait-elle vous être d’une quelconque utilité, si tant est qu’elle puisse jamais en avoir une ? Je ne suis pas digne de croiser votre regard, veuillez pardonnez mon exceptionnelle audace, permettriez-vous que je nettoie vos semelles avec ma langue ?’
(à lire en roulant les ‘r’)

Notre nouveau meilleur ami s’appelle Roy, et parle un très bon anglais. Un peu français aussi, c’est sa deuxième langue Il nous fait visiter un peu le campus, nous aide à nous enregistrer, à obtenir un logement. Quatre heures plus tard, il décide égoïstement de nous abandonner. Bravo la Chine.
Le logement est assez exigu, un peu rustique, mais acceptable. Climatisation de série, TV avec une trentaine de chaînes, téléphone. Les lits sont en béton armé. Bonne surprise, les prises françaises se branchent sans problème sur les prises chinoises. Mauvaise surprise, nous avons hérité de la douche la plus mal conçue au monde. Tout en elle semble crier « je suis architecte et débile, pitié, tuez moi », mais je reviendrai sur le sujet, une fois équipé d’un APN. Les moustiquaires aux fenêtres sont perméables, et la qualité de l’isolation ne donne pas confiance pour l’hiver. Hier, le circuit d’éclairage de la chambre a décidé de mourir brusquement. Plus de lumière, pas moyen de rétablir la chose. Le réparateur arrivera cette après-midi. A suivre…

Le campus, lui, est sympathique. Bien équipé, cosmopolite, rempli de gens agréables et intéressants. La langue de communication est l’anglais, majorité d’étrangers oblige. Ca tombe bien, je ne comprends quasiment rien au Chinois pour l’instant. Les prix, quelques phrases simples, le tout saupoudré de langage des gestes, et d’anglais (très peu parlé par les chinois). De cette façon, avec un peu de bonne volonté, on arrive même à demander l’adresse d’un serveur SMTP de l’université (très difficile à mimer, le serveur SMTP). Mais j’ai tout de même rendu feuille blanche au test préliminaire de chinois, qui hélas ne comprenait ni anglais, ni langage des gestes. Peu importe.

La bataille contre l’administration est, elle, bientôt finie. Les cours commenceront sous peu, mais, pour l’instant, je profite de la fin de ces vacances. Tourisme dans l’air cancérigène, restaurants à 50 centimes le repas, baguettes de rigueur. Nourriture périmée à tous les rayons de supermarché. Classique.

Tellement de choses à raconter, mais si peu envie d’écrire 5 pages indigestes (je ne vise personne…). Le reste sur msn donc, ou dans un prochain billet. Et non, vous ne rêvez pas, j‘ai bloggé.

Enfin, je laisserai à Max le soin de la conclusion.

« Chine, tu es un pays,
Chine, tu es un mot,
Chine, tu comportes cinq lettres,
Chine, tu ne parles pas, mais
Chine, mon cœur chante pour toi. »

Merci, Max, c’est beau. Je sais, c’est bas, mais ça me fait plaisir, c’est l’essentiel.

05 juillet 2006

Le pays de fais-ce-qu'il-ne-te-plaît-pas

« Bonjour.
- Bonjour. Je suis Inutila, l’hôtesse de non accueil. En quoi puis-je vous être inutile ?
- Je viens pour un passeport.
- Voyez au bureau des passeports. Avez-vous les papiers requis ?
- Oui.
- Bien. Il faut ces papiers. L’ascenseur vous permettra de changer d’étage, et ce jusqu’à l’étage désiré. »
Le hall d’entrée est vaste et vide, Inutila et son clone bien désoeuvrées. Les ascenseurs attendent, tout proche.
Ding.
« Bienvenue dans l’ascenseur FC0025678. En raison d’un mouvement de grève, cet appareil restera immobile jusqu’à une date encore indéterminée. Merci de votre compassion immense. »
J’essaie l’autre.
Ding.
« Lentosceur arrivé étage demandé. Ouverture portes imminente. Attention. Répète. Ouverture porte. Attention. »
Un rai de lumière se dessine, s’étire avec peine.
« Attention, danger. Lentosceur en ouverture. »
Ici arrive Limaxos, l’homme le plus lent sur terre.
« Boooooon… »
J’entre dans le Lentosceur.
« …joooouuuur. »
Vite, sélectionner l’étage. Limaxos ne s’est toujours pas aperçu de mon déplacement. Les portes esquissent un mouvement de fermeture.
« Attention, Lentosceur en fermeture. Extrême danger. Lentosceur en mouvement macroscopique. »
La compréhension gagne le regard de Limaxos. Son corps visqueux tendu par l’effort amorce la translation vers l’intérieur. Mais déjà les battants se rabattent. La lutte est terrible, humanoïde contre machine. Le temps fige un peu plus son envol.
« Noooooo… »
Scrouitch.
Dommage, il avait l’air sympathique. Je dépouille la carcasse. Le journal du jour, une tasse de café, un oreiller poisseux, rien d’intéressant. Tant pis.
Diiiiinnnnnnng.
« Lentosceur en phase d’approche. Extrême risque de sensation de mouvement. Attention. »
Quinze minutes plus tard, les portes dévoilent enfin les prémisses du niveau -12, dit « des âmes perdues ».
Un zombie laisse échapper un rire étouffé à ma vue.
« Gaaah, pauvre fou. Personne n’est jamais revenu du niveau -12. Un conseil, rentre chez toi, tant qu’il est encore temps. Raaahh. »
Puis sans plus un regard, il saisit son balai éponge et reprend son activité d’humectation inutile du sol.
Les couloirs sont vides, silencieux comme un bébé mort. Enfin, voilà la porte, je suis en avance. Pas eux apparemment. Mieux vaut être sûr, la porte adjacente est entr’ouverte.
« Bonjour, sous être, tes voisins de troupeau seraient-ils dans les parages ?
- Aaaah ne me regardez pas directement, je ne supporte pas le contact visuel ! Pas un son non plus ! Sortez et fermez la porte, je me transforme en harpie si je suis exposée plus de 10 secondes à des êtres vivants !!
- Ooookay. »
Misanthropia, sous-responsable paperasserie secteur 2. J’aurai dû lire le nom de l’enclos avant.
Dix minutes de retard plus tard, ils arrivent. Les farfadets préposés aux passeports transhument, lentement mais sûrement, et déjà je peux lire les mots inscrits sur leurs fronts.
« Obtus », « Stupide », « Neurasthénique» et « Vicieux », inscriptions tatouées au dessus des sourcils, en lettres rouge. Leurs noms, sans doute.
« Bonjour. », me lancent-ils à l’unisson. Même leur bonjour sonne faux. Ils savent que ce jour ne sera pas bon. Je lance une claque au plus proche, en guise de réponse. Le ton est donné.

« Vous êtes là pour un passeport ? » me lance stupide, en se frottant la joue.
« Non, je viens faire un tennis, connard.
- Veuillez patienter. »
La porte claque. Dix autres minutes de retard plus tard, et, enfin, est ouvert le bureau des passeports.
« Avez-vous tous les papiers requis ?
- Oui.
- Laissez moi voir ça. » Vicieux et Obtus se jettent sur le monceau de documents, comme des hyènes sur un cadavre de nourrisson. La concentration se lit sur leurs visages. La sueur perle leurs tempes. Et soudain…
« Ahah ! »
Ils sont joyeux, ce n’est pas bon signe. Aucun petit animal n’est en train de souffrir dans les environs. Il doit s’agir de mon dossier.
« Avez vous une raison valable de faire ce passeport en urgence ?
- Oui.
- Avez-vous un papier officiel pour le prouver ?
- Oui. Il est entre vos mains.
- Ce papier n’est pas valable.
- Pourquoi donc ?
- C’est la règle. La règle stipule que tout document devra être déclaré non valable si le préposé alors en fonction se sent le besoin de s’arroger un simulacre de pouvoir afin de compenser son sentiment de frustration intense. Maintenant, rampe à mes pieds. »
Il me faut réagir.
« Appelez donc l’auteur de ce document. De cette façon, vous pourrez discuter entre fonctionnaires raisonnables et compétents des tenants et aboutissants de la chose. »
Je me suis abstenu d’exploser de rire, le piège est tendu. Car si les êtres ici présents sont diaboliques, l’auteur du document en question est, elle, hors de portée de l’imagination. Même au téléphone, plus d’un en auront perdu la raison.
La prudence m’incite à sortir de la pièce. A l’intérieur, des gargouillis se font bientôt entendre, accompagnés de râles rauques, et de bruits de giclures d’organes. Quand enfin tout cesse, je regagne la pièce, ravagée. Vicieux et Obtus tapissent les murs, pêle-mêle. Ils étaient les plus dangereux. Je me détends un peu.
« Très bien » entame Neurasthénique. « Je vais faire les photocopies ».
Il saisit une feuille. Rampe jusqu’à la photocopieuse. Revient. Saisit une autre feuille.
Et ainsi de suite.
J’en profite pour claquer copieusement Stupide, afin de parfaire ma détente.
« Moi aussi, j’ai fait des études » me lance-t-il. Terrible erreur.
Je le claque sans pitié, j’y mets toute ma haine des comparaisons à deux centimes, toute mon antipathie pour les mélanges de torchons et de serviettes intempestifs.

Après quelques minutes d’une telle détente intense, Neurasthénique vient sauver son collègue en annonçant avoir fini son dur labeur. Il semble épuisé.
« J’ai fait plus de travail en 5 minutes que durant les 10 dernières années. Repassez dans quelques heures, en attendant je vais faire une petite crise cardiaque. »
Une dernière petite claque à Stupide pour le plaisir, et me voilà reparti, victorieux.
Je dois l’avouer, malgré tous leurs défauts, ces nains étaient compétents, chacun dans leur domaine.

Moralité : un fonctionnaire dans l’administration, c'est avant tout un nain compétent.

20 juin 2006

JCV

Un mini billet en ces temps difficiles...


Aujourd'hui, à la caissière du supermarché : "euh 2 minutes, en fait j'ai oublié un thing.. euh un truc".
Je me Jean-Claude Vandammise !!!

09 juin 2006

Je ne suis pas un héros.

La rue est vide de piétons. Les voitures passent sans les voir. Pour eux, le temps s’est figé. Ils se battent. Comme des chiffonniers. N’avez-vous donc jamais rencontré de chiffonnier ? Moi non plus. Trop belliqueuse, la race s’est éteinte. Mais le flambeau est repris.
Les coups ne portent pas. Les gestes amples manquent de puissance, de conviction. De pratique. Le spectacle est bien pauvre. Coup de pied sauté. Léger coup, lourde chute. Bruce Lee s’en retournerait dans sa tombe, comme le cerveau de Vandamme dans sa boîte crânienne.
Un craquement, fin du combat. Premier sang versé ou portable cassé, telle était la règle. Je n’ai pas bougé. J’ai hésité, mais je n’ai pas bougé. Cela fait-il de moi un demi héros ? Un demi crétin ? S’interposer n’est pas sans risque, et la probabilité de retombées personnelles positives bien faibles. D’un point de vue évolutionniste, j’ai fait le bon choix.

Ma foi, s’il le faut l’Histoire jugera.
Grand H et un grand SI. Pas de chute tranchée.